Dans le petit aperçu de nos journées,
j'oubliais le plus mauvais moment pour moi : obligé de
repousser, souvent avec force, les parents qui voulaient empêcher
le départs des jeunes incorporés qui partaient directement
vers Marseille après la coupe réglementaire et l'habillement.
Même topo devant les trains qui chargeaient en pleine campagne.
On ne peut oublier toutes ces années, le
bon et le moins bon. (A.Kordus)